Je m’appelle Maxime Meyer, j’ai 37 ans, et je suis profondément attaché à notre département, où j’ai grandi et où je réside encore aujourd’hui. J’ai passé mes premières années à Neyron avant de m’installer à Misérieux, où je vis depuis maintenant 33 ans avec ma compagne, mes deux enfants. J’aide aussi ma mère à s’occuper de ma sœur tétraplégique suite à un accident de la route à Neyron en 1988.
Parcours professionnel
Après mon bac au lycée de Trévoux puis mes études à Lyon, réalisées grâce aux bourses, je suis devenu ingénieur écologue avec une double compétence en management et gestion de projet. À travers mes expériences professionnelles, j’ai acquis une bonne connaissance du monde économique et des politiques publiques. J’ai eu la chance de multiplier les expériences au sein de collectivités territoriales, d’entreprises, de start-ups ou encore comme auto-entrepreneur. Mais comme beaucoup, j’ai aussi connu les recherches d’emplois, les galères et les fins de mois difficiles.
Engagement associatif
Engagée dans le monde associatif depuis mon plus jeune âge (chiens guides d’aveugle, association étudiante pour le développement durable, Maison de l’environnement de la Métropole de Lyon,…), je suis actuellement administrateur de France Nature Environnement dans le Rhône, que j’ai eu l’honneur de présider pendant 4 ans.
Premiers engagements politiques
Mon premier engagement militant, ce sont les grèves lycéennes contre le Contrat Premier Embauche en 2006. J’ai souvent battu le pavé, sans aller jusqu’à m’encarter dans un parti politique. Puis en 2015, j’ai cocréé avec des amis un site internet de concertation pour les élections régionales. L’objectif était de pousser les candidats à s’engager sur les propositions des citoyennes et des citoyens. J’ai ensuite récidivé au moment de la présidentielle de 2017 et pendant la période des gilets jaunes. Je reste convaincu que la démocratie et la prise de décision collective ne se décrètent pas, elle doit se vivre au quotidien.
Election régionale de 2021
Après des années à militer, j’ai compris qu’il fallait passer par les urnes pour que le peuple puisse reprendre le pouvoir. Les Écologistes ont alors lancé une action collaborative pour créer leur programme pour les élections régionales de 2021, à laquelle j’ai participé. Suite à ce travail, les Écologistes m’ont désigné pour être tête de liste de l’Ain aux élections régionales. Nous avons mené une campagne de terrain dynamique, conviviale, qui a permis de faire un très beau score au premier tour, et d’obtenir trois élus au second tour.
Conseiller régional de l’Ain depuis 2021
Depuis juin 2021, je suis élu au conseil régional, et plus récemment j’ai adhéré à EELV. À la Région, je siège dans les commissions dédiées à l’aménagement du territoire, au handicap et au social, ainsi qu’à l’environnement. Je copréside également le groupe des écologistes, le plus important groupe d’opposition à la majorité Les Républicains et à son président L.Wauquiez. Élu de terrain, je suis sur toutes les luttes pour défendre notre patrimoine et présent pour valoriser notre département dès que possible.
Candidat à la députation dans la 2e circonscription de l’Ain
Suites aux résultats de l’extrême-droite aux Européennes 2024, j’ai décidé de me présenter aux législatives, sous la bannière du Nouveau Front Populaire dans la 2e circonscription de l’Ain, car j’ai un amour inconditionnel pour notre territoire, pour notre pays et pour notre devise républicaine. Sans aucune aspiration personnelle dans cette bataille, je me suis mobilisé pour faire face au risque de basculement de notre pays. Ayant récolté près de 17 000 voix au 1er tour, je me suis désisté pour faire barrage à l’extrême-droite et j’ai appelé à voter pour mon adversaire du Modem, Romain Daubié, mettant en défaite le candidat RN parachuté dans notre circonscription.